"Friendship is like peeing on yourself: everyone can see it, but only you get the warm feeling that it brings."
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miercuri, 29 septembrie 2010
Inchis in Norvegia :)
Asta e tara unde as vrea sa traiesc. Asta se numeste civilizatie.
BREAKING NEWS!!!
Unde mai poate sa coboare nivelul jurnalismul romanesc? Baieti, se cutremura aia de la Cancan ca-si pierd jobul.
luni, 27 septembrie 2010
Kalvin Klein utca :)
Am citit articolul si marturisesc ca e o intamplare cel putin ciudata. Nu-mi dau seama daca e vorba de cinism sau de prostie din partea pastorului Tokes. Ok, pot intelege demersul politic sau civic al tinerilor maghiari de a lipi si dezlipi placute, desi pentru mine, recunosc ca patrotismul-de-placute-bilingve-si-de-meciuri-de-fotbal mi se pare infantil si ieftin. In fine, dar ia uitati-va ce placuta s-a gandit dl Tokes sa puna: strada Jean Calvin si sub ea Kalvin Janos utca. Cred ca no comment ajunge. :)
P.s. cand politia comunitara i-a explicat vicepresedintelui parlamentului european ca face ceva ilegal, acesta a raspuns, ca legea e "proasta si antidemocratica." O fi dar e lege totusi.
luni, 20 septembrie 2010
Despre cazul Vantu!
http://www.romanialibera.ro/opinii/comentarii/afacerea-vintu-romania-orientala-vs-romania-occidentala-199999.html
sâmbătă, 18 septembrie 2010
Va declar sot si.....sot!
marți, 14 septembrie 2010
vineri, 10 septembrie 2010
Cum devine mancarea o dilema culturala (Le monde)
Du porc imposé à tous au halal généralisé (articol preluat din Le Monde)
Dounia Bouzar, anthropologue du fait religieux, directrice du cabinet Cultes et cultures
Ma liberté de conscience s'arrête où commence la tienne... Belle maxime qui pose les bases de notre système français de laïcité. Mais parfois plus facile à dire qu'à faire ! Plus il y a de diversité, plus c'est délicat à gérer !
Actuellement, loin de cette devise, c'est le rapport de force qui l'emporte : pendant longtemps, les citoyens de confession musulmane étaient sommés de boire un verre d'alcool pour prouver qu'ils étaient "modernes" et devenaient les premiers consommateurs de poisson dès qu'ils se restauraient à l'extérieur de chez eux, faute de trouver de la viande halal pour ceux qui en souhaitaient. Aujourd'hui, les Quick halal plantent leur pavillon, imposant à la totalité de leur clientèle de manger de la viande ritualisée.
On retrouve ce rapport de force dans bien des secteurs : tel salarié au sein d'une équipe de collègues qui ne supportent pas la religion se voit harcelé lorsqu'il observe le ramadan... Tel salarié au sein d'une équipe de musulmans pratiquants se voit harcelé parce qu'il comptait bien boire son café au bureau sans se cacher, comme d'habitude... Tel service éducatif finit par commander toute sa viande halal, après avoir menti pendant des années sur le porc qu'il mettait dans les boulettes... Même sur Facebook, les affrontements s'organisent entre "apéro pinard et saucisson" et "apéro halal" !
Comment, dans la pratique, garantir la liberté de conscience des uns et des autres au sein de la même collectivité ? Jusqu'où la liberté de croire peut-elle s'exprimer sans entraver la liberté de ne pas croire ? Et vice versa ? Sur quels critères poser des limites ? Concrètement, appliquer la laïcité, cela donne quoi ?
Assurer la liberté de conscience, c'est permettre aux citoyens de croire, de ne pas croire, de croire en ce qu'ils veulent. La laïcité est un système juridique instauré pour que les Français puissent tous ensemble avoir un destin commun, avec leurs identités multiples, variées, qui peuvent d'ailleurs évoluer. La laïcité est instituée aussi pour qu'il n'y ait plus jamais de morale unique, pour qu'aucune philosophie ne domine une autre, religieuse ou pas.
L'objectif des services publics est de faciliter le vivre-ensemble avec des citoyens soumis aux mêmes droits et devoirs. C'est bien pour éviter l'instauration de mécanismes parallèles de régulation opérant en dehors de la sphère publique que certains assouplissements sont timidement proposés pour réaménager le cadre général de la société (possibilité de travailler le dimanche, de chômer à l'Aïd et à Yom Kippour, de diversifier la nourriture des cantines, etc.) afin d'agrandir les références qui constituent le patrimoine culturel commun.
De nombreux élus prennent en effet conscience qu'une norme d'apparence neutre peut indirectement avoir un effet discriminatoire sur certains individus, si elle est incompatible avec leur pratique religieuse. Comment assouplir ce cadre normatif pour établir l'égalité de pratiques des différents cultes, comme le garantit la laïcité républicaine, sans pour autant permettre aux groupes minoritaires d'instaurer une souveraineté juridique et culturelle qui les soustrairait au contrôle de l'Etat et du droit commun et entraverait toute possibilité de cohésion sociale ?
Cette question de réaménagement du cadre général de la société est subtile, car certaines revendications religieuses font l'objet d'interprétations multiples et reflètent souvent des questions de pouvoir à l'intérieur d'une même religion ou vis-à-vis du reste du monde (autres religions, athées, etc.). Or l'Etat doit rester neutre. Il ne lui appartient pas de valider telle ou telle interprétation d'un texte religieux.
L'action des services publics doit donc normalement se restreindre à veiller à ce que les différentes pratiques ou revendications n'entravent pas les objectifs des cadres législatifs et constitutionnels.
Il s'agit de permettre un assouplissement du cadre normatif général dans un sens d'intégration de tous les citoyens et non pas dans celui de la ségrégation de certains d'entre eux. Sur la question alimentaire, cela signifie clairement qu'il faut arriver à continuer à "manger ensemble", quel que soit le contenu des assiettes, les différentes références et convictions des uns et des autres.
Il serait temps qu'on réfléchisse à comment instaurer une réelle diversité alimentaire sur les mêmes tables : viande halal ou casher le cas échéant, porc, boissons diverses (jus de fruit et alcool), et à penser à élaborer des "plats communs" réalisés à partir de poisson ou d'oeufs, qui peuvent être partagés par tous.
Car l'objectif est bien que la différence ne devienne pas une frontière, et que ceux qui mangent de la viande halal se mélangent avec ceux qui préfèrent du porc, et inversement. Cela respecte le principe selon lequel aucune vision du monde ne s'impose comme supérieure puisque toutes les références sont respectées, mais chacun doit accepter celle de l'autre.
Quand cet objectif sera atteint, plus jamais on n'entendra :
- Alain qui traite Karim de "pas civilisé" parce qu'il pratique sa religion, et que, "quand même", il devrait "en finir avec tout ça" ;
- Tony qui traite Johnny d'"endoctriné" lorsqu'il déclare ne pas manger de porc parce qu'il est devenu musulman ;
- Karim qui traite Alain de "gros cochon" parce qu'il mange du porc ;
- Ahmed qui traite Kader de "mécréant" lorsqu'il se gave de saucisson corse parce qu'il adore le cochon depuis qu'il a 5 ans...
Dounia Bouzar, anthropologue du fait religieux, directrice du cabinet Cultes et cultures
Article paru dans l'édition du 08.09.10marți, 7 septembrie 2010
Cine spune că fotbaliştii sunt proşti?
"Trăiesc într-o ţară pe care încep să o înţeleg din ce în ce mai puţin. Îmi era uşor să renunţ, îmi spuneau oamenii că aş putea să-mi bag picioarele şi să trăiesc liniştit acasă alături de soţie şi de copii, dar sunt aici pentru că eu cred în naţionala României. Suntem departe de a fi o naţiune corectă, departe de a fi oameni prietenoşi, departe de a fi un popor care îşi doreşte să crească şi să trăiască mai bine. La noi, când îţi e mai greu, primeşti un şut în fund şi o lopată în cap", a tunat Chivu.
"Ne zbatem în mocirlă, şi dacă nu ne potolim, nu mai ieşim de acolo. Vorbim doar de dragul de a vorbi, de dragul de a face rău, vorbim pentru că nu putem tăcea. Fac un apel la oamenii (de fotbal) să înceteze."
parantezele imi apartin.
Cata dreptate are Cristi Chivu.
luni, 6 septembrie 2010
E dramatic!
duminică, 5 septembrie 2010
Secularizare ori ba?
sâmbătă, 4 septembrie 2010
Consiliere filosofica!
Philosophical counseling is multifaceted. It not only provides a logical analysis of the particular issue at hand, but more importantly, it explores the relation of the particular problem to the wider belief system governing our behaviour and our wellbeing.
Philosophical counselling is not a new phenomenon. It is a practice that runs through the history of the philosophical tradition right the way back to Socrates, Aristotle, Plato and before. Academic philosophy as it is thought today in the universities would be barely recognizable to a philosophical practitioner such as Socrates. Philosophy for the ancient Greeks was not a practice divorced from living, but rather a living practice in the pursuit of truth, justice, authenticity, human flourishing, the good society and the nature of reality to highlight a few central concerns. While there was a focus on the tools of rationality to aid in such an endeavour, philosophical practice did not remain a purely intellectual exercise, but rather transformed the participant s way of viewing the world, and ultimately, his very way of being.
sursa:Wikipedia.org
miercuri, 1 septembrie 2010
Puncte de vedere
Cu doua paragrafe mai jos domnul profesor are un optimism in care trebuie s-o spun, eu nu ma regasesc: "
In alta ordine reputatul antropolog opineaza ca taranii dezradacinati si adusi cu forta la oras in blocuri nu au devenit "mutanti sociali". Eu cred ca ba. Exista o categoria sociala a acestor hibrizi sociali, fara vina, care nu s-au putut smulge complet din satul natal dar nici nu s-au acomodat suficient cu cerintele unei vieti de oras. Ei traiesc printre noi, ei sunt cei care fac nunti in felul amintit in interviu, adica se invita reciproc si obligatoriu, vazand in asta o forma de protectie sociala. Nu e o problema pana la urma ca o fac, ci faptul ca ei nu au incredere ca vreo institutie a statului sau comunitate civica ar putea prelua acest rol. Ei se comporta la fel ca in mediul lor de origine. Si exemplele ar putea continua. Acesti hibrizi nu au gesticulatie politica nu au simt estetic, sau civic, nu au nimic din ceea ce ar putea fi un "burghez". In schimb merg in weekend la tara. Acolo e naturelul lor. N-o spun cu rautate, e o drama.
Ar mai fi un punct in care n-as fi de acord cu dl profesor. Iata: intrebare:"Putem vorbi în România despre politică, în adevăratul sens al cuvântului?